Dermières retouches mécaniques

19 mai 2017 // Alain // Préparation

Allez encore un petit effort, et nous pourrons remiser, poste à souder, meuleuse, perceuse, scie et limes.

Béquille panier

Nous cherchions une solution pour lever le panier en cas de crevaison, cric, chandelle, etc …

Puisque pour dépanner une crevaison AV ou AR sur la moto, la béquille centrale suffit, nous avons opté pour une petite béquille fixée à demeure sous le châssis du panier.

Cette béquille affiche une capacité de soutien de 500 kg (amplement suffisant) , ne pèse que 1,2 Kg, et accepte un débattement jusqu’à 36 cm.

Plus besoin de fouiller dans le fond du coffre, pas de risque de ripage et de cric baladeur. On l’actionne par l’arrière avec un cliquet, sa rallonge longue et une douille de 24 mm.

Attention toutefois, il s’agit d’une béquille et non d’un cric, pendant que madame actionne la manivelle monsieur soulage le panier.

Étanchéification du coffre panier

Lorsque l’on place une source lumineuse dans le coffre, on distingue un filet de lumière au niveau du dossier du siège et du joint de capot.

Conclusion : ce n’est pas totalement étanche.

Par expérience nous savons que poussière, latérite ou sable s’infiltrent même dans les endroits réputés étanche à l’eau. Le coffre accueillant l’équipement audio/video, il fallait impérativement le rendre également étanche à la poussière.

Alors mise en place d’une tôle d’alu de 1,5 mm découpée au gabarit et jointée au mastic polyuréthane, et amélioration du joint de capot de coffre.

Bulle

Après avoir observé les différentes bulles installées, lors de l’AG fin mars ( ∞ CF Rejoindre la meute ∞ ), nous avons opté pour un modèle PUIG sur les critères suivants :

esthétique, à notre goût, plus discrète que le nez de cochon au détriment certe de l’efficacité,
poids,
dimensions généreuses (h=50 cm, l=40 cm) assurant néanmoins une bonne protection et un meilleur aérodynamisme,
fixation quatre points pour limiter la tendance aux vibrations, que nous avons observé sur celles uniquement fixées en deux points au guidon.

En retravaillant les fixations basses du kit d’origine prévues pour une attache sur les fourreaux de fourche, nous avons répondu à notre cahier des charges discret, fluide, efficace, moins de vibrations possibles.

Réglage géométrie

Une étapes obligatoire après la mésaventure du bras oscillant.
Et au vu du contrôle, pincement 8 cm, carrossage 2 ° vers le panier, la reprise du réglage n’est pas un luxe.

Tout est rentré dans l’ordre avec un pincement de 12 mm (préconisé 10 mm + ou – 5 mm) et un carrossage à 0° AV et AR en charge (merci l’arc tangente)

Plus de tendance au guidonnage au franchissement des dos d’âne, passages à niveau et autres aspérités de la chaussée ou sentiers et au final une vraie direction assistée.

Graissage général

Cette opération fastidieuse a été réalisée au fur et à mesure, dès le début des travaux mécaniques. Tous les écrous et vis ont été démontés, graissés et remontés.

Nous n’avons pas retenu le remplacement de la boulonnerie acier (standard 8.8) d’origine par une boulonnerie inox, pour des raisons de coût, d’approvisionnement (différents pas dont 125 et 100 difficiles à trouver), et tout simplement parce que l’inox malgré ses qualités reste plus cassant que l’acier.

Bilan global de cette préparation

Coût 150 € réparti en :