Le nouvel eldorado des retraités d’Europe du nord.
Un peu partout, nous y avons croisé beaucoup d’Alsaciennes.
Ceci dit, ces migrateurs avaient compris bien avant les humains l’intérêt de passer un hiver sous un climat des plus clément.
Enfin un contact positif via Wave-VS pour un conteneur partagé sur Barcelone, date de dépôt du side-car entre le 26 et le 29 décembre, date d’embarquement le 9 janvier, ce qui nous laisse une bonne semaine pour remonter les 1200 km qui nous sépare de Barcelone.
A 60 km/h maxi en vitesse de pointe et donc par les petites routes, il va falloir bien gérer nos temps de route et de visite.
Alors les Praria, on zappe, direct Faro, d’autant qu’il faut songer à faire la vidange des premiers 500 kms.
Arrivés en fin de journée, nous programmons pour le lendemain, une visite éclair dans la matinée, une vidange en milieu d’après midi et un départ le surlendemain avec un réglage à froid des culbuteurs au petit matin.
Allez, survole du quartier historique
et visite de la Sé cathédrale
Un lieu parfait pour une séance de repassage.
Puis l’incontournable et singulière Capela Dos Ossos cachée dans l’église du Carmel,
une mosaïque de fémurs et de crânes des moines ayant officié sur la ville, curieux hommage !
Pour la vidange, tout se goupille parfaitement, une rencontre d’opportunité nous ouvre les portes du Club Moto Faro.
Mise à disposition de l’atelier, pour travailler en toute sérénité,
et invitation à dîner à la table du président.
Retour à l’hôtel à une heure inavouable, après de chaleureux remerciements et aux revoir
Ce club moto, présente une organisation et une structure hors du commun, atelier, bar, restaurant et même hôtel. Vous l’aurez compris une halte conviviale et incontournable pour tout motard de passage.
Bien que la nuit fut écourtée, nous prendrons le temps de peaufiner le réglage des culbuteurs au petit matin et en route.
Mais à peine parti, le side-car présente des ratées, arrêt sur la bas coté, tentative de repartir, plus rien, visiblement un problème éclectique.
On trifouille le faisceau électrique, vérifie les fusibles et ça repart. Pas pour bien longtemps, re-coupure, démontage du phare, verdict, faux contact sur la cosse du plus après contact.
Beaucoup trop de temps perdu, nous roulerons le restant de la journée, jusqu’à la halte improvisée de San Juan Del Puerto qui nous gratifie de notre seule animation du jour, un superbe spectacle votif retraçant la nativité.
Ce n’est que le lendemain vers midi que nous quittons le Portugal à Vila Real De Santo Antonio, d’une manière peu banale, via un bac réservé aux piétons et deux roues.
bonsoir; à vous deux enfin vous affichez une date de départ;
j’espère que l’engin arrivera à bonne destination et que vous le récupérerez assez rapidement que de périples es -ce que le carnet de route va etre assez grand !!!!!!! je pense que vous garderez en mémoire ce début de voyage ; allez gardez le moral c’est le principal pour avancer! bisous
Salut Alain et Marcelle, vous voila repartis pour un nouveau “voyage”. Les images du Portugal sont superbes. Nous étions en moto en Algarve à Lagos en 1990 et à Nazaré aussi en moto en 1991, de superbes vacances. Nous vous souhaitons un beau voyage avec de belles rencontres. J’ai eu les infos par Eric, on s’est téléphoné voila 2 semaines. A bientôt et bonne route. Joëlle et Luc.
Merci les lorrains,
Tout cela ne nous rajeunit pas. L’algarve n’a été qu’un tour de chauffe, le reste certainement bien plus difficile.
A bientôt sur le site.